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isabelle debré sénateur ump des hauts de seine - Page 7

  • ELECTIONS LEGISLATIVES A VANVES : SUPPLEANTE D’ANDRE SANTINI, FRANCOISE SAIMPERT S’IMPLIQUE A FOND

    Tout le monde à Vanves, a remarqué l’aissance avec laquelle Françoise Saimpert assume sa fonction de suppléante du député-candidat André Santini. C’est le troisiéme suppléant vanvéen d’un candidat aux élections législatives dans la 10éme circonscription que le Blog Vanves Au Quotidien rencontre, après  Christian Raoult (avec le candidat dissident PS), et Bernard Léon (avec la candidate du Centre pour la France). Portrait.   

     

    Dans une vie antérieure, Françoise Saimpert a été journaliste dans un magazine qui a disparu, « Mode Magazine »  où elle s’occupait de la rubrique « A travers la ville » et  écrivait des article sur l’historique des quartiers parisiens avec l’interview de trois célébrités sur leur vie quartier, et des  interviews d’auteurs-écrivains qui lui ont permis de rencontrer Alexandre Jardin qui débutait.  « Il  m’a fait entrer dans son association « Lire et faire lire »  dans laquelle je me suis engagé et qui est à l’irigine de mon engagement en politique. Le jour où Vanves a adhéré à cette association, j’étais sur Clamart où je faisais la lecture à de petits enfants, mais j’ai assisté à la cérémonie inaugurale où Isabelle Debré était présente. Elle m’a incitée à la suivre, m’a beaucoup aidé sur des cas personnels, et lorsque j’ai voulu la remrcier,  m’a coupée en me disant : « il n’y a pas à dire merci, la politique, et cela ne doit être que cela, c’est être au service des autres ! ». C’est une phrase qui m’a marqué parce que je me suis dit que si la politique pouvait être cela, ce qui lui  donne toutes ces lettres de noblesse,  je pouvais m’impliquer parce que cela m’intéressait. Et depuis, de fil en aiguille, j’ai adhéré à l’UMP en 2002, en faisant partie de ses gens de droite qui déploraient que l’on perde par manque d’union. Dés que l’union s’est faite – et j’aime rappeler que l’UMP est un parti d’union, qui a donc permis de réunir aussi bien des RPR que des démocrates libéraux et des UDF –  je me suis retrouvée, avec beaucoup de bonheur, sur la liste des municipales. Je continue en étant chargé – non pas de la culture que j’aurais adoré avoir – mais d’une délégation plus large qui a fait de moi, une élue de terrain : la participation locale, l’animation, la vie associative, le jumelage. Et la boucle est bouclée puisque je suis aussi très impliqué dans  la fête des voisins et Voisins Solidaire » raconte t-elle en montrant qu’elle est une élue très heureuse, passionnée par ce qu’elle fait « Et j’espére que cela se voit ! »

     

    Beaucoup de vanvéens ont remarqué que Françoise Saimpert était beaucoup  plus à l’aise dans cette campagne des législatives en tant que suppléante d’André Santini qu’elle ne l’avait été pendant les cantonales de 2010 en tant que suppléante de Bernard Gauducheau : « Cela veut dire que je progresse, que j’ai un peu plus de facilité avec l’expérience. Je le prends comme un compliment. Mais cela dit, je me sentais très à l’aise auprès de Bernard Gauducheau. J’ai beaucoup appris à ces cotés ou j’étais très à l’aise » insiste t-elle en revenant sur le choix effectué par André Santini : « C’est une marque de confiance importante. Aussi bien Isabelle Debré que Bernard Gauducheau m’y ont encouragé, ce qui m’a semblé tout à fait naturel de prendre la suite d’une lignée très prestigieuse après Frédéric Lefebvre et Isabelle Debré pour qui j’ai beaucoup d’admiration et d’affection. C’est une expérience très enrichissante, car aux cotés d’André Santini, c’est évident qu’on ne peut qu’apprendre beaucoup. Et je suis très heureuse de ce choix, parce que, au fur et à mesure que j’avance dans cette campagne, je découvre l’homme tel que je l’imaginais, à savoir un homme très humain,  très proche de sa population et qui est vraiment très aimé ». Et pas mysogine pour un sou, comme pourrait le croire de mauvises langues : « Cela ne m’étonne pas parce qu’à travers ses livres, je m’étais fait une idée et une opinion sur lui, depuis qu’il m’arrive de le cotoyer de temps en temps, de loin en loin. C’est un homme galant, charmant, attentionné, avec toujours cette pointe d’humour qui le caractérise. C’est un homme qui est tellement connu, qu’on a tendance à le caricaturer à travers ses passages très remarqués auprès des grosses têtes. Mais j’ai été frappé lorsqu’on a, ensemble, arpenté la grande braderie d’Issy les Moulineaux, de voir le nombre incalculable d’isséens qui viennent vers lui, l’appelent par son prénon, veulent se faire photographier avec lui, des jeunes, des gens plus âgés, de tout milieu Le slogan « vous protéger » lui va très bien, car il a une forte figure pateernelle, rassurante, protectrice ».

     

     

    Elle s’est très impliquée dans cette campagne,  faisant  le lien sur Vanves, avec Philipe Kussmann directeur de campagne d’André Santini, Isabelle Debré et Bernard Gauducheau. Elle s’est beaucoup impliquée sur le choix des lieux pour les petits déjeuners, les déjeuners thématiques avec les invités (au café de la gare sur le théme de la santé après un déjeuner sur les chefs d’entreprises chez « méméne », Aux Sportifs), la réunion avec les ultra marins, les visites sur le terrain du candidat (centre ancien, parc Pic…) et surtout le porte à porte : « C’est une vraie campagne de terrain, de fond à tant à Issy (plus de 4000 portes) qu’à Vanves (Plus de 1000), avec du tractages. Nous sentons une dynamique qui est très exaltante, tout le monde étant à fond dans cette campagne ». Et d’autant plus, qu’en face à gauche, c’est la division : « Tout le monde s’accorde à dire que cela ne peut que nous servir. Mais c’est leur problème. Et c’est à eux de le régler ! Personnellement, je ne m’occupe pas trop de mes adversaires, uniquement de notre union entre l’UMP et le NC, avec un engagement très fort des militants ». Et elle est très confiante : «  Jusqu’au dernier moment, il faut rester  à 100% dans la course et  à fond dans cette campagne. On récoltera ce que l’on a semé, à condition de semer jusqu’au bout. On ne léve pas le pied même si les sonfages sont bien meilleur ». Presque du Santini dans le texte.  

  • ELECTIONS LEGISLATIVES 2012 A VANVES : LANCEMENT DE LA CAMPAGNE DE SANTINI/SAIMPERT

    Les vanvéens comme les isséens devraient trouver cette semaine dans leur boîte aux lettres la lettre signé par André Santini annonçant sa candidature aux élections législatives des 10 et 17 Juin dans la 10éme circonscription des Hauts de seine (Vanves/Issy les Moulineaux) dont il est le député depuis 1988. Il se présente pour un sixiéme mandat avec pour suppléante, Françoise Saimpert (UMP), maire adjointe de Vanves qui succéde à Frédéric Lefebvre, Isabelle Debré, Didier Morin et Gérard Orillard. Il l’a annoncé samedi dernier à l’ensemble des élus UMP et NC des deux villes, en présence des maires de Boulogne (PC Baguet), Meudon (H.Marseille) et Vanves (B. Gauducheau) en présentant le Comité de Soutien présidé par ces 3 maires avec Isabelle Debré, Sénateur de Vanves et des Hauts de Seine, Marie-Laure Godin, l’une des 3 conseillers généraux de Boulogne, et l’organigramme de son équipe de campagne dirigé par Philippe Knussmann, maire adjoint NC d’Issy les Moulineaux, comme cela est toujours le cas depuis 1988, dans lequel n’apparait aucun vanvéen sauf pour le corrspondant de Vanves (Jacques Landois) et aucun UMP, ce qui a eu le don d’irriter Isabelle Debré qui l’a fait savoir.

     

    Ce qui n’empêche pas l’ensemble des élus UMP et NC avec l’ensemble des militants et sympathisants de partir à la bataille, rassurés qu’André Santini reparte à la bataille alors qu’il a eu la tentation de Juppé (et non de Venise). Mais beaucoup d’électeurs et d’administrés qu’il a rencontré depuis le 6 Mai parraissaient à ses yeux inquiets, lui demandant s’il se représentait, alors qu’il s’interrogeait s’il fallait qu’il y aille. Ce qui l’a décidé à partir de nouveau, à la bataille, pour un sixiéme mandat. « A l’issue des Présidentielles, le PS détient désormais tous les pouvoirs, au Sénat, dans nos Régions, nos départements, nos grandes villes. Il faut rétablir l’équilibre à l’Assemblée Nationale, la démocratie est en jeu. Voilà pourquoi, j’ai décidé d’être candidat » écrit dans sa lettre annonçany sa candidature.

     

    « De fortes menaces pésent sur nos villes, car la crise n’est pas terminée. Je veux préserver le cadre de vie fraternel et solidaire qu’ensemble, nous avons bâti à force de volonté et de travail, dans la confiance et le dialogue, dans la considération et le respect de chacun. Je veux sauvegarder les nombreux service que nous offrent nos villes prospéres et accueillantes, et qui facilitent votre vie quotidienne, votre vie personnelle et celle de votre famille » ajoute t-il  décidé à développer durant cette campagne les thémes de la protectuion, de l’environement, du Grand Paris et surtout de l’expérience… et à mener une campagne de terrain, de porte à porte. C’est pourquoi, sa permanence ouverte lundi matin, rue Kléber derrière la mairie d’Issy les Moulineaux face à l’arrêt des bus square Bonaventure Leca est si petite. Il veut que tout le monde soit sur le terrain. Et à Vanves cela a commencé dés ce week-end, où il était présent à la fête du Plateau organisé par le Comité de Quartier  samedi en fin d’aprés midi, et à la braderie du Plateau dimanche en fin de matinée avec meguez-frites à la kermesse de Saint François..

  • MAIRE ET SENATEUR DE VANVES ENSEMBLE A l’INAUGURATION DU SIEGE DE LA GENDARMERIE TOUT PRES DU CLOS MONTHOLON

    Pour faire mentir leurs opposants qui cherchent toujours la moindre petite faille entre NC et UMP,  surtout que les deux groupes au conseil municipal signent maintenant une tribune différente dans Vanves Infos, Bernard Gauducheau et Isabelle Debré sont arrivés et repartis ensemble du gymnase Alain Mimoun où se déroulait hier matin, le discours de Nicolas Sarkozy après l’inauguration du siége de la Gendarmerie prés du Fort d’Issy et du clos Montholon. Comme leurs 30 autres collégues du NC et de l’UMP, ils en sont ressortis ragaillardis expliquant « qu’il faut le garder ! », alors que les gendarmes étaient plus circonspects, même si le président de la République s’est livré à un véritable exercice de calinothérapie vis-à-vis de 900 d’entre eux présents.   

     

    Nicolas Sarkozy n’a évidemment pas annoncé sa candidature hier matin, alors que les médias étaient très présent pour ce déplacement dans son fief altoséquanais mais il n’en pas moins dressé un bilan de son action en matière de sécurité…comme tout président candidat. « Ce n’est pas le lieu, ni le jour. Il n’y a pas très longtemps à attendre » confiait le sénateur Karoutchi (UMP) aux journalistes. Tout le clan UMP et NC sarkozystes était présent, maires et parlementaires, Isabelle Debré étant la seule femme du carré des élus placé devant le pupitre présidentiel, avec un élu des Alpes Maritimes, Eric Ciotti, le monsieur sécurité de l’UMP,  et même un sénateur vert : André Gattolin (EELV) qui était le seul représentant de l’opposition à être présent « N’oubliez pas que je suis sociologue » confiait il. Et le chef de l’Etat n’en a pas dit mot même s’il a été sollicité à plusieurs reprises par les nombreux journalistes présents « Si je vous le dis, vous ne viendrez pas demain ! » a-t-il répondu à l’un d’entre eux.  « M. le président, vous pouvez nous donner un signe? » a tenté un autre sans succés : « demandez à la gendarmerie ! »

     

    « Ce bâtiment est tout un symbole. 7 ans après la décision de le construire, nous sommes réunis pour le visiter. 10 ans après l’annonce que j’avais faîte de réunir les forces de sécurité de notre pays au sein d’un même ministère, celui de l’intérieur que je dirigeais à l’époque, nous sommes réunis pour inaugurer la direction générale unifiée que la Gendarmerie attendait depuis plus de 50 ans. La DGGN dispose désormais d’un outil de travail moderne répondant à toutes les exigences  de sa mission : concevoir et diriger la politique de sécurité quotidienne des 32 millions de français qui vivent dans sa zone de compétence etr faire vivre le réseau des 32 000 implantations territoriales que vous représentez ici, aujourd’hui, dans toute sa diversité de vos grades et de vos fonctions » a  déclaré le chef de l’Etat  après avoir visité une partie des nouvelles installations de la DGGN :  47.300 m² de bâtiments  constitué de bureaux, d’un centre de conférence, d’une créche, d’un hôtel, d’un restaurant, d’un service médical et d’un complexe sportif, exemplaire en matière de performance environnementale : « Ainsi les besoins en eau chaude de l’hôtel sont couverts par des panneaux solaires thermiques, 6000 m2 de terrasses végétales ont été installés, des bassins de rétention permettent  la récupération des espaces verts et la mise en place d’équipements hydroéconomes permettent d’économiser 30% d’eau potable » expliquait André Santini qui a coupé le ruban tricolore et dévoilé la plaque inaugurale avec le Président de la République.

     

    Celui-ci s’est livré à un véritable exercice de calinothérapie des gendarmes en rappelant les réformes fondamentales engagés depuis 10 ans tant au niveau des structures que de leurs statuts et de leurs moyens (développement des moyens modernes de constatation, d’analyse couplé avec des outils tel que le Fichier National d’analyse des Empreintes Génétiques), en  les remerciant de leur implication chaque jour sur le terrain grâce à laquelle l’insécurité et la délinquance reculent… A tel point que les Hauts gradés qui l’ont accompagné jusqu’à son véhicule lorsqu’il a quitté le gymnase, ironisaient entre  eux « moi y’en a beaucoup vouloir aimer ! » - « Mais en attendant je m’inquiète pour notre budget ! ». Il n’en a pas moins profité pour dresser un bilan rapide de sa politique  de la sécurité qui s’est amélioré grâce à ces réformes : « Depuis 2002, la délinquance  reculé de 16,5% »…. « le nombre de personnes mises en cause a progressé de 29,3%. »… « le taux d’élucidation est passé de 26,2% à 38,6%. Il est même de 43,1% pour la gendarmerie » a-t-il indiqué en n’oubliant pas la lutte contre l’insécurité routière : « En 10 ans, le nombre d’accidents a baissé de 38% et celui des tués de près de 50%. 32000 vies ont été ainsi épargnées »… « Mon devoir est de maintenir le cap de la fermeté » qui a permis de passer « pour la première fois en 2011 sous le seuil des 4000 tués sur les routes alors qu’il était supérieur à 7600 en 2002 »… « Ces progrés dont les français n’ont pas suffisamment conscience, nous les devons en grande partie grâce à vous ! » a-t-il terminé.